En Belgique, 1 entrepreneur sur 3 est une femme. Depuis plusieurs années, Microstart, institution de microfinance leader en Belgique, organise des semaines dédiées pour soutenir les créateurs d’entreprise dans leur démarche. J’ai participé avec grand plaisir à une table ronde sur un sujet qui me tient à cœur : l’entrepreneuriat féminin. Lors de cette matinée riche en contenu et en rencontres, nous avons échangé sur le rôle de la femme au sein de cet écosystème. Nous avons évoqué notamment les peurs et les blocages qu’elle affrontait. Je vous partage mon retour sur ce moment fort de la semaine.
L’entrepreneuriat féminin : une mission majeure
Cette demi-journée s’est organisée autour d’une table ronde suivie d’un débat sur l’entrepreneuriat féminin, ses enjeux et ses perspectives. Malgré une progression régulière en nombre, beaucoup de femmes n’osent pas franchir le pas et se lancer dans l’aventure entrepreneuriale. C’est un sujet qui résonne beaucoup en moi.
Je me sens pleinement concernée. Je suis moi-même entrepreneure. Je connais les difficultés auxquelles nous sommes toutes confrontées. Nous faisons face à bon nombre d’obstacles qui se dressent devant nous. D’un autre côté, j’accompagne, au quotidien, des femmes dans leur émancipation et leur développement personnel. Cet autre regard me conforte dans la nécessité d’être guidée dans notre démarche.
Lors de cet événement, les thèmes abordés mettent en lumière les nombreux besoins d’une femme dans le monde de la création d’entreprise comme, par exemple :
- la légitimité ;
- la relation à l’argent ;
- le syndrome de l’imposteur ;
- la confiance en soi.
Ces sujets s’associent naturellement à notre mission de vie.
Création d’entreprise et mission de vie : une synergie évidente
Découvrir sa mission de vie permet d’aller à la rencontre de notre « nous véritable ». La plupart des entrepreneures sont dans le « Faire ». Faire un business plan, faire du chiffre, faire un nombre de clients, faire x heures, faire x formations… Par besoin de sécurité, il est plus simple de se baser sur des choses factuelles et matérialistes.
À se concentrer sur cette partie immergée de l’iceberg, nous en oublions le « Être » :
- Qui sommes-nous vraiment ?
- Quelles sont nos valeurs ?
- Quel service souhaitons-nous apporter aux autres ?
- Quelles actions nous nourrissent intérieurement ?
En répondant à ces questions essentielles, nous nous éveillons à une nouvelle dimension. Des solutions émergent. Mieux encore, le sens de notre vie s’illumine. En allant au-delà du « Faire », nous nous reconnectons à notre « Être ». Cette relation retrouvée avec nous-mêmes nous ouvre des portes pour faciliter nos démarches. Toutes les interrogations qui suivent, sur la légitimité ou sur l’argent, trouvent alors des réponses. Le « Faire » se construit naturellement sur le « Être ». L’inverse n’est pas possible.
Ce fut un vrai bonheur de prendre part à ces échanges. Cela me conforte dans ma mission de vous accompagner pour vous aider à vous retrouver. J’ai rencontré des femmes inspirantes, fortes et déterminées. Elles ont à cœur de partager leur expérience pour en faire profiter le plus grand nombre. C’est avec grand plaisir que j’apporterai ma contribution lors du prochain débat.
Vous êtes en réflexion sur la création de votre activité ? Vous avez franchi le pas et êtes entrepreneure ? Assaillies d’interrogations, vous ne savez où donner de la tête pour donner du sens à vos actions et retrouver de la sérénité. J’organise un séminaire le 15 octobre prochain pour vous accompagner à accomplir votre mission de vie. Offrez-vous une journée destinée à vous ressourcer pour trouver les réponses à vos questions. Ne tardez pas à réserver, les places sont limitées.
